Avec « Les jardins de la nuit » Maurice Limat nous livre un roman bien terne sur le thème ô combien classique de l’envoûtement. Tout y est très conventionnel, sans la moindre surprise et l'auteur se contente de délayer à l'extrême une intrigue filiforme. Quant à la chute, censée nous faire hésiter entre possession maléfique ou auto suggestion, elle est également usée jusqu’à la corde (cf : « L’œil était dans la tombe » de B. R. Bruss). Alors que dire de plus sur ce roman bâclé et raté. Rien. Si ce n'est que cette deuxième incursion dans la célèbre collection « Angoisse » du Fleuve noir se solde par une nouvelle déception et que si je retente l'expérience, ce ne sera certainement pas avec un autre opus des aventures de Teddy Verano !
Fleuve Noir Angoisse - 1966

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